Alors que le nom « Station F » a été rendu public fin juin, il est temps que je rende public mes idées pour optimiser ce projet dont j’ai entendu parler pour la première fois il y a trois ans, en juin 2013 et qui me tient à cœur depuis cette époque. « Station F », c’est le projet d’incubateur de Xavier Niel connu jusqu’alors sous le nom de « Halle Freyssinet » du nom du lieu où il se trouvera à Paris, ou « 1000 startups » puisque le but du projet est d’incuber 1000 startups dans un lieu accessible 24h/24 permettant d’accueillir 3000 personnes.
Bien que mes réseaux sociaux affichent un millier de contacts, je n’ai pas de contacts particuliers avec les personnes en charge de la mise en oeuvre de ce projet. Je n’ai donc pu leur proposer mes idées. Comme cela fait trois ans que j’y réfléchis, la moindre des choses, c’est que je les publie. Mes idées ne sont peut-être pas originales. Peut-être que Station F a prévu de faire la même chose. Mais n’ayant pas été en contact avec l’équipe chargée de le mettre en oeuvre, je ne le sais pas. Voici mes idées.
La vidéo à 360°, ce n’est plus nouveau. J’en parlais déjà en 2010 et plus récemment début 2015 lorsque ce format est devenu standard sur Youtube suivi de peu par Facebook. Il faut avouer que je n’ai pas été plus emballé que ça par ce format. Pour surprendre, il faut aller un peu plus loin. Google essaye avec « Special Delivery », une histoire avec des fins alternatives à choisir par vous même. Et vous, cela vous convainc-t-il ?
Microsoft sera la seule société Hi-tech Américaine qui survivra. Comme vous le savez certainement, le lieu que l’on appelle Silicon Valley est en Californie, entre San Francisco et Los Angeles. La Silicon Valley, c’est la plus grande concentration d’entreprises Hi-tech américaines. Les géants de la planète y ont leur siège : Google, Apple, Facebook, Yahoo, Oracle, Adobe, Intel, HP, Cisco et j’en passe. Il y en a plus de 6 000 ! Or, vous n’êtes pas sans savoir que la Californie est au beau milieu de la faille géologique de San Andreas, à la jonction des plaques tectoniques du Pacifique et de l’Amérique. De nombreux films et séries ont envisagé la disparition pure et simple de la Californie lors d’un prochain tremblement de terre majeur appelé « Big one ». Mais ce tremblement de terre n’est pas une fiction, c’est une réalité scientifique. Et le « Big One » va arriver bien plus rapidement qu’on le croit. Il n’est plus question de savoir si cela va arriver, mais quand cela va arriver. La Californie va donc disparaître très prochainement, la Silicon Valley et toutes les grandes entreprises Hi-tech américaines avec. Toutes sauf Microsoft qui est la seule à s’être implantée à Seattle. Microsoft sera donc la seule société Hi-tech Américaine qui survivra à « Big one ».
Si vous voulez voir en images comment ces entreprises vont disparaître, regardez le trailer 1 et le trailer 2 officiel du film San Andreas à paraître au cinéma le 27 mai 2015.
Nota : Microsoft devra tout de même continuer à se battre avec Amazon qui a eu la bonne idée de s’installer elle aussi à Seattle.
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Edit 20/06/2015 : Puisqu’au 1er avril je parlais de ce film, je n’ai pas résisté à la tentation d’aller le voir. Et j’ai été servi : un film plat, sans originalité et égoïste.
Un peu comme Titanic, on sait dès le début du film comment il va se terminer : toute la Californie va être dévastée.
Il y a le scientifique qui a trouvé la recette miracle pour détecter à l’avance les tremblements de terre, mais personne ne l’écoute.
Très rapidement après les premières secousses, les communications cellulaires sont coupées, mais les filaires et la télé fonctionnent toujours.
Un sauveteur balaise qui n’a pas su sauver sa fille par le passé se met à la quête de sauver sa femme (en instance de divorce) et sa fille. Les autres ne comptent pas.
A la fin du film, les deux sont sauvés. Un étudiant à la recherche d’un premier emploi qui a pu sauver la fille d’une mort certaine est aussi sauvé avec son frère.
Le sauveteur et sa femme se remettent ensemble. La fille et l’étudiant s’embrassent pour la première fois. Et le petit frère regrette de ne pas avoir 20 ans (pour embrasser la fille).
Et les autres ? Ben on s’en fout. Ils sont presque tous morts. Il y a quand même assez de survivants pour brandir le drapeau Américain.
Et maintenant, on fait quoi ? On reconstruit ! Générique.
En plus, je suis allé le voir en 3D ce qui n’apporte rien pour ce film. La totale !
Ma première analyse d’expert date du 6 septembre 2010 et parle d’Eric Schmidt, le directeur de Google, qui s’imaginait être le fils spirituel de George Orwell. George Orwell est cet écrivain anglais qui a dépeint en 1948 le monde futuriste de 1984 (inversion des deux derniers chiffres), un monde où tout est contrôlé par la police de la pensée qui traque ceux qui sont déviants de la pensée unique imposée par le pouvoir et les vaporise, une jolie façon de dire les supprime. Evidemment, personne ne veut de ce monde qui laissait à penser à l’époque ce que pourraient devenir les pays soviétiques. C’était la guerre froide.
1984, c’était il y a 30 ans. 1948, c’était il y a presque 70 ans. Qu’en est-il aujourd’hui de ce monde dirigé par la police de la pensée unique ? Ce n’est clairement pas le monde soviétique qui fait maintenant partie des gentils. Et pourtant, les prédictions de George Orwell n’ont jamais été aussi d’actualité et la police de la pensée unique vient de notre monde occidental à nous. Nous avons créé ce monstre. Nous vivons en plein dedans. Analyse. Très longue analyse…
Enfin pas tous, mais au moins la moitié. C’est le résultat de l’analyse édifiante de Benjamin Mako Hill qui a été traduite sur Slate et qui est très intéressante à lire. Même ceux qui sont attachés à leurs conversations privées ne peuvent pas s’en sortir. Google a le bras long. Dans mon cas, c’est encore pire : j’utilise Gmail et Chrome donc rien n’est inaccessible à Google. En plus, je stocke quelques fichiers (pas tous) sur Drive. Pour Google, je suis entièrement transparent. Il sait tout de moi. Et encore, je ne parle pas de Microsoft, Apple, Facebook et les autres… Vivons heureux, vivons cachés qu’ils disaient…
Knacss est une feuille de style CSS qui contient quelques petites règles sympathiques afin de programmer ses feuilles de styles proprement. Il est composé de règles toutes simples mais rendent bien service et semble taillé pour un site en responsive design.
L’occasion de rappeler à quel point il est important d’avoir des feuilles de styles propres dans un grand projet car lorsqu’elles ne le sont pas, la maintenance devient vite un calvaire, surtout quand les équipes changent souvent. En fait, non, ce n’est pas un si grand calvaire que ça. Il est tellement plus simple de tout dupliquer et ainsi limiter ses problèmes. Oui, mais dupliquer un code, ce n’est jamais sain et cela a toujours des conséquences.
Less et Sass sont deux autres frameworks connus de longue date qui opèrent dans le même domaine. Leur approche est un peu différente car ils proposent une extension des possibilités de CSS non reconnues par CSS lui-même. C’est en appliquant un compilateur que ces extensions sont transformées en CSS compréhensible par les navigateurs.
Pour en savoir plus, lisez le tutorial sur Alsacréations ainsi que ce petit article tiré du blog de Raphaël Goetter qui rappelle l’importance d’avoir des feuilles CSS propres, ce qui n’est pas le cas sur la majorité des grands sites, y compris Facebook. Ce blog mérite d’ailleurs d’être lu car il aborde de nombreuses autres problématiques relatives à CSS.
La pagination est utilisée dans une grande majorité de sites Internet. Elle intervient à chaque fois qu’il y a plusieurs pages numérotées à afficher, que ce soit une réponse à une recherche ou un simple article qui tient sur plusieurs pages.
Cet élément, si souvent utilisé, est implémenté très différemment et pas toujours efficacement. Quelle est la pagination la plus optimale de toutes ? Analyse. Lire la suite
Pour accéder aux fonctionnalités étendues d’un site Internet, vous devez tout d’abord vous connecter. Ceci se fait la plupart du temps par la saisie d’un identifiant et d’un mot de passe.
Selon les sites, les règles appliquées à la saisie de ces identifiants et mots de passe varient. Quelles sont celles que l’on rencontre ? Sont-elles sécurisées ? Quelles sont les meilleures ? Quelles sont les bonnes pratiques ? Lesquelles faut-il privilégier ? Voici un petit tour d’horizon. Analyse… Lire la suite