Traduisez vos textes professionnels avec un effort minimal grâce à Deepl

Vous êtes probablement dans la même situation que moi. Vous parlez bien mieux français qu’anglais mais votre entreprise exige que tous vos documents soient rédigés en anglais car l’entreprise est internationale. Pourtant, vous vous adressez en majorité à des francophones qui ont autant de difficultés que vous à rédiger et comprendre les contenus en anglais. Ca vous parle ?

Lorsque je rédige un document en anglais, mon texte est maladroit et la qualité de l’anglais est limitée à mon niveau. Je fais des efforts énormes pour un résultat d’une qualité moyenne, ce qui pourrait indiquer un manque de professionnalisme de ma part. Ce n’est pas mon professionnalisme qui est en cause. C’est bien mon niveau d’anglais, qui est, malgré tout, suffisant pour passer le TOEIC, un examen souvent requis à l’embauche.

L’idéal serait donc de rédiger mes contenus en français et, lorsqu’ils sont validés, les traduire en anglais avec un effort minimal. En prime, j’aurais un document en français et un autre en anglais, chacun adapté à mes différents auditoires. Le rêve, non ?

Non. Ce n’est pas un rêve ! C’est ce que je fais tous les jours ! Je me facilite la vie en rédigeant mes documents en français, la langue que je maitrise. Et quand mon contenu est validé, je le traduis en anglais avec un effort minimal.

Ce scénario ne peut fonctionner que si l’effort à produire est minimal. Le problème, c’est que les traducteurs proposés en ligne sont plutôt moyens, le traducteur de Google inclus. Il est nécessaire de reprendre la majorité des traductions pour avoir des textes sans erreur de sens, ce qui pourrait embrouiller l’auditoire ciblé. Il faut donc un traducteur qui frôle les 100% de qualité dans sa traduction.

C’est là que DeepL intervient. Je l’utilise gratuitement depuis plusieurs années maintenant. Certes, les traductions ne sont pas 100% parfaites. Mais elles le sont assurément à plus de 90%, voire 95%. Les tournures de phrases anglaises sont de meilleure qualité que ce dont je suis capable de rédiger moi-même. Je ne peux toujours pas faire d’impasse sur la relecture des traductions, pour identifier et corriger les quelques erreurs résiduelles, mais cette étape va très vite. L’investissement de traduction vaut le coup par rapport au temps gagné initialement en rédigeant mes contenus en français.

C’est un choix gagnant gagnant ! J’ai une traduction de meilleure qualité que mes propres traductions. Le temps gagné par la rédaction de mes documents en français est énorme et mes destinataires bénéficient de contenus dans les deux langues. Parfait !

Mais là n’est pas le meilleur. Il existe une application Deepl. Cette application peut être installée sur votre PC, même si vous n’avez pas les droits d’installer des applications. Grâce à elle, si vous faites « Ctrl+C Ctrl+C », c’est à dire le même raccourci que Copier, mais deux fois de suite, l’application copie votre texte dans Deepl et le traduit instantanément. Si la traduction vous convient, vous cliquez sur « Insérer » et votre texte français est remplacé par la traduction directement dans votre document initial. Un gain de temps phénoménal ! C’est ainsi que vos traductions se font avec un effort minimal !

Comment Deepl fait pour produire des traductions d’aussi bonne qualité ? Deepl est une société Allemande dont c’est le cœur de métier. La société a donc optimisé ses algorithmes et utilisé au maximum les capacités de l’intelligence artificielle. Nous n’arriverons probablement jamais au 100% dans la qualité des traductions, mais avec Deepl, on s’en rapproche chaque jour.

D’ailleurs, l’intelligence artificielle de Deepl est à votre disposition lors de la traduction puisqu’elle vous propose, après avoir traduit votre texte le mieux possible, une autre formulation qui serait encore plus percutante. De quoi remettre en cause le style de votre texte initial.

Et enfin, last but not least, lorsqu’on m’envoie un document en anglais à lire, je gagne un temps phénoménal en passant ce texte à Deepl. Certes, les petites erreurs de traductions pointent leur bout de nez et nécessitent que je relise la phrase dans la langue initiale, mais comme c’est rare, je gagne du temps là aussi !

Pour en savoir plus, lisez l’article « DeepL, le cauchemar de Google Translate, poursuit sa folle ascension » sur Presse Citron et bien sûr allez tester Deepl !

 

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La série écologie et énergie : le futur est déjà là aujourd’hui

En cette semaine de rentrée scolaire que j’espère bonne pour vous, je vais démarrer une série d’articles dans le thème de l’écologie, orienté énergie.

Pourquoi ? Parce que la maîtrise de l’énergie non fossile, c’est à dire renouvelable est le nouvel el-dorado à conquérir. Un marché gigantesque et indispensable pour la survie de notre espèce qui consomme trop.

Nous voyons de près ou de loin le développement de véhicules électriques, d’éoliennes, de panneaux solaires… souvent associés à des messages négatifs : « ça gâche la vue », « ça pollue », « l’autonomie est trop faible »…

La réalité, c’est que la technologie est beaucoup plus avancée que ce que l’on croit, mais pas encore au niveau industriel. Cela ne se résume pas, loin de là, aux trois technologies que je viens de citer. Les familles d’énergies renouvelables sont l’hydraulique, l’éolien, le solaire, la biomasse et la géothermie. Derrière chaque famille, des dizaines de solutions existent.

Après deux ans de veille technologique sur ces sujets, je vous propose de vous partager, chaque quinzaine, l’un des aspects de ces technologies qui vont révolutionner notre monde. Je vous expliquerai en quoi cela consiste et les inventions existantes ou à venir. Pour beaucoup, ce sera une découverte comme cela l’a été pour moi, d’où mon envie de vous le partager. Je commencerai, dans le prochain article, par une expérience personnelle. Car au-delà des mots, il faut agir. C’est ce que j’ai fait. Je ne manquerai pas, par ailleurs, à écrire d’autres articles sur d’autres sujets.

La liste des articles publiés est mise à jour ci-dessous :

En attente du premier article.

Bonne lecture !

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Une nouvelle loi impose le contrôle de la vitesse sur les voitures neuves

Depuis le 7 juillet 2024, la nouvelle loi GSR2 (General Safety Regulation 2) impose aux constructeurs automobiles d’ajouter de nouvelles « aides à la conduite ».

Ces aides consistent à surveiller votre vitesse et vous alerter si vous dépassez la vitesse autorisée.

Votre vitesse sera constamment enregistrée dans une boite noire ce qui permettra aux autorités de vous contrôler et vous verbaliser a posteriori. Grace à cette boite noire, en cas d’accident, votre assurance pourra également analyser votre conduite et potentiellement ne pas vous indemniser.

Vous pouvez désactiver ces fonctionnalités de surveillance au démarrage de la voiture. Mais vous devez savoir que la loi impose également la réactivation de ces services à chaque démarrage. Qui va penser, à chaque démarrage, à désactiver la surveillance ? Quid de votre assurance si vous avez un accident avec la surveillance désactivée ?

Une nouvelle loi, appellée Data Act, imposera les entreprises fabriquant des objets connectés à partager les données générées par ces objets connectés. Les voitures en font partie. Il faudra certes le consentement du conducteur. Mais les assurances trouveront certainement un moyen très convainquant d’imposer cette autorisation à ses clients. Quant aux autorités, elles pourront invoquer « l’urgence publique » pour accéder gratuitement à toutes vos données.

Nous démarrons la nouvelle ère de l’intelligence artificielle qui pourra contrôler tous nos faits et gestes et nous verbaliser au moindre écart. Et ce n’est pas futuriste. C’est maintenant, applicable depuis le 7 juillet 2024.

Pour en savoir plus, je vous invite à lire l’article d’auto-moto : « Boîte noire, limiteur de vitesse intelligent, de nouvelles assistances désormais dans toutes les voitures neuves« .

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Agile en Seine : 8 ans pour s’offrir un Palais des Congrès

Les 17 et 18 septembre 2024, pour sa huitième saison, Agile en Seine s’offre un espace bien plus grand, le Palais des Congrès d’Issy les Moulineaux, pour accueillir 1000 participants.

La consécration de cet événement dédié aux pratiques Agiles dans les entreprises n’est pas le fruit du hasard mais bien le résultat d’un travail acharné au long court de l’équipe d’organisation, dont je suis l’un des deux seuls organisateurs depuis la première saison. Je vous raconte… Lire la suite

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De retour après 18 mois d’absence des réseaux sociaux, ça fait quoi ?

Je n’avais plus publié sur mon blog et les réseaux sociaux depuis le 8 février 2023, il y a 18 mois. Ca fait quoi ? Du bien, rien que du bien !

Certes, vous m’avez certainement vu réagir ou répondre à un message ou deux parce que la vie continue. Mais s’éloigner de tout ça m’a permis de prendre du recul.

Pourquoi, il y a 14 ans, j’ai décidé d’ouvrir mon blog ? Pour partager les choses que j’avais envie de partager. Rien de plus ! J’ai partagé plus de 500 articles, sur mon métier de l’époque, l’Agile, mais également sur d’autres de mes centres d’intérêts, notamment Hi-tech.

Lorsque j’ai écrit mon dernier article, c’était suite à un gros retour d’expérience sur l’Agile. Les réactions m’ont un peu étonnées. Un peu comme lorsqu’on écrit un article « PC ou Mac ». Rien de bien constructif. Du superficiel. Et puis je commençais mon nouveau job qui n’est plus centré sur l’Agile. Un grand changement dont je ne pouvais pas partager plus qu’un synopsis.

Cette période de silence m’a permis d’observer. Et bien entendu observer les réseaux sociaux. In fine, ce que je retiens, c’est que nous sommes maintenant dans une génération zapping. On réagit dans l’instant à une publication sans la lire jusqu’au bout et on l’oublie la seconde suivante. D’ailleurs, la majorité des lecteurs n’ira même pas jusqu’à lire cette phrase.

Les réseaux sociaux ont formatés les cerveaux pour s’ennuyer dans les 30 secondes. Cela limite les échanges intéressants. Avec Youtube short, la chute de l’histoire doit arriver dans les 5 secondes, sinon on passe à la vidéo suivante. Et ça plait à la jeune génération qui peut rester de longues minutes pour ne pas dire des heures à regarder ces micro-vidéos. Ils passent un bon moment, mais sont incapables de se souvenir de la moindre séquence vue dans l’heure qui suit.

Je passe les nombreux influenceurs qui, sur Youtube principalement, font fortune en envoyant des messages insipides à leurs abonnés qui likent par millions. Ils font croire à la jeune génération que la richesse s’obtient facilement en publiant des vidéos sur Youtube. Il y a beaucoup de candidats mais très peu d’élus. Cela pullule d’escrocs. Le pire étant ceux qui vont vanter les mérites de l’utilisation d’un produit détourné de son usage initial ou mal fabriqué ou un service proposé par des gens incompétents qui mettent in fine en danger leur santé voire leur vie.

Le paroxysme est avec Instagram, le site où les jolies filles se dandinent devant la caméra en maillot de bain pour avoir le plus d’abonnés possible. Là, il n’y a même plus de conversation. On n’entend jamais leur voix. Leur unique proposition ? Aller sur un autre site payant avec une promesse plus intime. Passionnant ! Et pour celles qui ne veulent pas montrer leur intimité… et bien, rien de plus. Ca s’arrête là. L’important, c’est le nombre de commentaires « T tro belle » et d’émoticones cœur ou yeux écarquillés reçus et le nombre d’abonnés ! En termes de créativité, à part changer de maillot de bain à chaque publication, ça ne va guère plus loin.

Et linkedIN alors ? Le réseau professionnel où j’ai le plus d’abonnés… C’est guère mieux, même si quand même plus pro. C’est déjà ça. Le plus gros des messages, c’est assurément l’obtention d’une nouvelle certification qui appelle bien entendu des félicitations. Vient ensuite l’annonce d’un nouveau poste. Félicitations aussi. Ca permet de voir que son réseau bouge. Troisième type de message très récurrent : « Ces derniers mois ont été très riches pour moi. J’ai décidé de tout plaquer et me concentrer sur ma nouvelle lubie ». Et enfin, « Le mois dernier, j’ai joué dans l’équipe de foot de mon entreprise » ou « La semaine dernière, j’ai animé un super atelier ». Spoiler : pour écrire ce dernier paragraphe, je me suis limité à regarder le fil de messages que je venais de recevoir. Je n’ai pas eu à aller chercher loin.

Malheureusement, même sur LinkedIN, les contenus de fond se font rares… mais heureusement, il y en a de temps en temps !

Alors pourquoi je reprend l’écriture et la publication ? Pour la raison originelle qui a justifié l’envie de créer ce blog. Partager sur mes centres d’intérêts, rien de plus. Partager des informations intéressantes (à mon sens) et éviter l’insipide. Je publierais certainement moins sur l’Agile, même si mon cœur restera Agile à tout jamais. Et donc plus sur le Hi-tech et également l’écologie, en particulier l’avènement des nouvelles énergies. Je ne manquerai pas de parler aussi de l’IA qui, depuis 18 mois, a explosé auprès du grand public.

Je ferai des articles courts parce que la tendance est ainsi, mais j’y mettrai systématiquement mon opinion sur la chose présentée et la raison du partage de cette information. Stay tuned !

 

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SAFe ou pas SAFe ? En 2023, il n’y a plus débat

Dans mes précédentes publications, j’ai régulièrement évoqué SAFe. Tout d’abord en faisant une conférence « Panorama des frameworks Agile à l’échelle » à Agile en Seine 2021 disponible en vidéo puis un article « Pourquoi adopter le framework SAFe et pas un autre ?« qui donne de nombreuses raisons de choisir le framework SAFe plutôt qu’un autre.

Pour me faire ma propre opinion, j’ai moi-même déployé SAFe dans un grand programme, 4 trains et un niveau solution, dont j’ai partagé un compte rendu lors d’une Conférence chez Orange « Retour d’expérience en vidéo : 18 mois d’un programme Agile avec 500 collaborateurs« .

Pourquoi ce questionnement en titre de cet article ? Parce qu’il y a débat ! SAFe représentait jusqu’alors un bon tiers des déploiements d’Agilité à l’échelle. SAFe a son lot de détracteurs qui voient un framework contraire aux principes Agile car trop codifié, trop formaté avec trop de rôles silotés ou une machine à dollars avec ses formations de 2 jours minimum obligatoires pour tous et un questionnaire de passage de la certification avec des questions ambigües. C’est vrai ! Mais SAFe a également son lot de promoteurs qui voient en lui un processus efficace et adapté aux grandes organisations avec des objectifs clairs attendus à court terme (dans le trimestre) permettant de mesurer un avancement réel. Et puis il y a les équipes qui, lorsqu’elles pratiquent SAFe, l’apprécient,  ne le remettent pas en cause et ne veulent pas revenir en arrière.

Impossible de concilier les uns et les autres qui basent leurs expériences sur ce qu’ils ont vécu. Il y a certes de grands succès mais aussi nombre de déploiements Agiles, qu’ils soient SAFe ou pas,  bancales et/ou incomplets limitant l’efficacité de ce qu’ils devraient obtenir.

Le marché a toujours raison. Il ne faut jamais l’oublier. En 2022, une bascule s’est opérée : SAFe représente dorénavant plus de 50% des frameworks Agile utilisés. Et ce n’est pas anodin. Passer la barre des 50% signifie qu’il n’y a plus débat !

Selon le 16ème rapport annuel de l’état de l’art du déploiement Agile publié par Digital.ai fin 2022, le framework SAFe est adopté dans 53% des cas (37% en 2021), devant son challenger Scrum@Scale / Scrum of Scrums qui est adopté dans 28% des cas (9% en 2021) et plus adapté dans les situations impliquant moins de 50 collaborateurs. Les autres frameworks sont beaucoup moins déployés. « Some other framework » n’est plus qu’à 8% alors qu’il représentait 19% en 2021 sous l’appellation « Don’t know », ce qui correspond aux frameworks maison.

Cela conforte ce que je disais dans mon article « Pourquoi adopter le framework SAFe et pas un autre ?« . Si votre projet / programme implique :

  • plus de 50 personnes, préférez SAFe
  • Entre 10 et 50 personnes, préférez Scrum at Scale, plus léger que SAFe
  • moins de 10 personnes, choisissez Scrum

Ainsi, les 28% de Scrum at Scale correspondent très probablement à des projets à l’échelle de moins de 50 personnes.

Ce qui est important de noter, c’est que cette montée de SAFe et dans une moindre mesure de Scrum at Scale se fait au détriment des frameworks maison. Cela veut dire que la question d’utiliser un framework du marché plus qu’une invention maison est maintenant au cœur de la stratégie des entreprises. Le bricolage ou les POC ne sont plus de mise. Les entreprises s’industrialisent autour de l’Agile. Même si l’adaptation au contexte de l’entreprise reste clé pour son adoption.

Les autres frameworks, bien que toujours utilisés, représentent une part non significative du marché (moins de 8%).

Comme je le disais en titre : en 2023, il n’y a plus débat !

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Nouveau poste : Large Program Manager à Renault Group

En ce début d’année 2023, un grand changement s’opère dans ma vie professionnelle. Je clôture un peu plus de 10 années de coaching Agile à l’échelle pour aller de l’autre coté de la barrière. Je quitte Renault Digital et son Pole Agile pour devenir Large Program Manager dans le groupe Renault. Un changement dans la continuité puisque je vais rester dans des contextes à l’échelle.

Mon nouveau poste consiste à piloter des grands programmes transverses qui impactent de nombreuses Directions de l’entreprise. Plutôt que de lancer des initiatives individuelles en silo dans chaque Direction, je fais en sorte que ces initiatives se regroupent en une plus large afin d’aller ensemble plus loin et surtout de manière cohérente. C’est l’optimum global plus que l’optimum local. Et surtout, je vulgarise la complexité des sujets pour faciliter son appréhension et l’adoption par chacun.

Cette activité est au cœur de la stratégie Renaulution de Luca de Meo, le troisième et dernier volet, appelé Révolution. Je vais devoir appréhender à la fois l’amélioration de ce qui est déjà en place mais aussi prendre en compte les nouveaux usages car, si vous n’avez pas tout suivi concernant Renault, l’entreprise se transforme pour passer de constructeur de voitures à une Tech Company qui vend du service autour du véhicule. Cette stratégie anticipe l’évolution du marché automobile qui passe d’un marché de propriétaires de voitures à un marché d’utilisateurs de voitures qui ne souhaitent plus forcément acheter leur véhicule mais plutôt avoir à disposition plusieurs véhicules selon leurs différents usages.

Tout cela présage pour les trois à cinq prochaines années un changement profond du système d’information de l’entreprise, d’où le terme de Tech Company. Le Digital est au cœur de la stratégie.

Ce changement va être l’occasion pour moi de revenir un peu plus souvent sur mon blog pour lequel j’ai peu contribué ces derniers temps. Cela va commencer par la mise en page qui a été cassée par l’une des mises à jour de l’outil que j’utilise et puis la publication d’un certain nombre d’articles sur les énergies renouvelables qui est un sujet que je suis avec grande attention depuis que j’ai installé des panneaux solaires chez moi. Ne vous inquiétez pas, je continuerais aussi à parler d’Agile…

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Retour d’expérience en vidéo : 18 mois d’un programme Agile avec 500 collaborateurs

J’ai eu la chance d’être invité aux Orange Agile Days le 13 octobre 2022 pour présenter mon retour d’expérience de mes 18 passés à mettre en place un programme Agile avec 500 collaborateurs en me basant sur le framework d’Agilité à l’échelle SAFe.

Ce programme stratégique a une visibilité au plus haut de la hiérarchie parce qu’il modife le flux de valeur principal de Renault : faire des voitures.

Le framework SAFe qui a été utilisé pour ce programme présente une cible idyllique à atteindre mais n’évoque pas toutes les difficultés pour y arriver : mettre en place 4 trains et un niveau solution ne se fait pas en un jour.

Il faut convaincre les décideurs d’y aller, se lancer effectivement, mettre en place les processus et les outillages nécessaires ainsi que les animations à chaque niveau puis gérer tous les écueils rencontrés, éviter les doubles reporting (ancien mode de fonctionnement vs Agile) et les réunions doublons, organiser le change management, gérer les égos, les convictions, les humeurs de chacun ET le turnover…

Tant de choses à faire pour que cela fonctionne… Autant vous dire que la mise en place a été progressive.

Dans cette présentation, je vous raconte comment nous avons procédé et surtout dans quel ordre nous les avons réalisés. Nous pouvons être fiers du résultat obtenu.

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Hydrolienne, l’énergie verte illimitée et permanente

En cette période de canicule, c’est le moment d’écrire quelques articles sur le Hi-Tech écologique.

Au moment où le gouvernement français annonce vouloir investir sur de nouvelles centrales nucléaires dont on ne sait toujours pas re-traiter les déchets, où les écologistes hurlent contre les éoliennes qui dénaturent les paysages et où les panneaux solaires commencent à peine à décoller, il y a un moyen de production très prometteur dont on entend à peine parler : l’hydrolienne.

L’hydrolienne consiste à placer une turbine sous la mer afin de profiter du courant permanent des vagues. Simple et efficace, le mouvement des vagues n’est pas prêt de s’arrêter.

Au Japon, une hydrolienne de 330 tonnes qui sera immergée entre 30 et 50 mètres de profondeur pourra produire 60% des besoins en énergie du pays.

En France, silence radio total sur cette technologie. Enfin presque. Il n’y a guère que le site Neozone qui en parle : « Hydrolienne : pourquoi l’énergie marémotrice (pratiquement illimitée) est innovante et très importante ?« . Mais le gouvernement français n’en parle pas du tout. Les lobbyistes doivent être moins puissants que ceux du nucléaires.

Et pourtant, il semblerait que la France soit au cœur de cette nouvelle technologie. Une société française a inventé un système d’hydrolienne pour les fleuves. Toujours sur Neozone, « Le kWh le moins cher d’Afrique une hydrolienne flottante conçue dans le Finistère installée sur le fleuve Congo« . Une autre création française : « Un coût de l’électricité entre 0,13 et 0,26 €/kWh” Poseide 154, l’hydrolienne signée Guinard Energies Nouvelles« .

Il va même y avoir une installation gigantesque en France, cinq fois plus puissante que celle du Japon, au raz Blanchard près de la Hague : « FloWatt : la ferme hydrolienne la plus puissante au monde sera installée en France« .

En Europe, nous ne sommes pas les seuls. Une entreprise Ecossaise va installer la turbine la plus puissante du monde à Orkney au nord de l’Ecosse : « Hydrolienne : Orbital Power Marine dévoile “la turbine marémotrice la plus puissante du monde”.

Si le gigantisme vous fait peur, tournez vous vers une solution plus petite, mentionnée sur Revolution Energétique : « Avec cette pico-centrale hydroélectrique vous pourriez vous déconnecter du réseau même avec un faible débit d’eau« .

Il ne reste plus qu’à populariser cette technologie, notamment auprès du gouvernement. Nos problèmes d’énergie pourraient disparaitre rapidement…

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Comment est fabriquée une voiture électrique ?

Il serait dommage que je ne profite pas du fait que je travaille chez Renault pour parler de voitures sur mon blog. Quoique… la confidentialité m’empêche de révéler certains secrets. Et puis, je ne travaille pas dans les usines.

Par contre, je peux, comme vous, communiquer sur des informations publiques et vous partager cette vidéo « Comment on fabrique les voitures électriques » qui vous permet de visiter l’usine rénovée de Renault à Douai permettant de fabriquer la nouvelle Megane E-tech qui, au demeurant, est une très belle voiture.

On y voit tout : la construction de la caisse, de la base, l’installation des intérieurs, de l’électronique, des pare brises puis des portes pour finir avec les tests qualité pour s’assurer du bon fonctionnement du véhicule.

Cette vidéo dure 15 minutes et c’est très intéressant ! Bon visionnage !

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