Parlons français, merci la commission de terminologie

J’essaye tant bien que mal d’écrire en français avec le minimum de fautes d’orthographes, mais il y a parfois des limites qu’il m’est impossible d’atteindre, car je n’en ai ni la compétence, ni l’envie. En matière d’informatique, il est préférable d’utiliser les anglicismes utilisés par tout le monde plutôt que le français validé par la commission de terminologie.

Selon le vocabulaire de 2009, il faut dire : « Je voulais me rendre sur le site de mon registraire, pour renouveler mon domaine de tête, mais ma liaison numérique asymétrique plantait. Impossible d’avoir son adresse. Heureusement, j’avais sur moi mon Ordiphone, avec mon abonnement chez un opérateur de téléphonie mobile sans réseau. J’en ai profité pour commander de l’encre en poudre, mais curieusement, j’ai eu un démon de messagerie. Maudits services de la toile ! »

Et selon le vocabulaire de 2005 : « Alors que j’étais en causette sur notre anneau de sites, échangeant des frimousses avec mes copains à l’aide d’une appliquette Java, l’un d’eux me transmis curieusement son courriel -dupontdurand(arobe)***.fr- Etait-ce un fouineur de première ? Un lâche arroseur ? Aussitôt dit, aussitôt fait, en pleine zone d’accès sans fil, j’activais ma barrière de sécurité sur mon ASFI et un filtre anti-pourriel même contre les messages multimédias. Ainsi à l’abri, j’ai pu enfin tranquillement siroter une grenadine limonade devant un disque numérique polyvalent tout en écoutant la Marseillaise. »

Merci à PC inpact pour nous avoir fourni ces phrases illisibles.

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