25 Fév 2015
Le bonheur au travail ou les nouvelles façons de travailler
Le bonheur au travail, c’est mon crédo. En tant que coach Agile, je n’arrête pas de dire que ma mission principale, c’est d’apporter du bonheur à venir au travail, tout en travaillant sur l’efficacité des équipes, ce qui est très souvent corrélé. La clé du succès ? L’auto-organisation ou autonomie pour ceux qui n’aiment pas le premier mot.
Arte a consacré sa soirée d’hier soir au bonheur au travail, un documentaire très intéressant de 85 minutes que je vous invite à revoir sur Arte vendredi soir ou sur Arte+7 pendant 7 jours. Vous y verrez notamment Jean-François Zobrist, connu notamment pour ses expériences d’entreprises libérées. A regarder absolument !
Pour en savoir plus, lisez l’article de présentation de l’émission sur Cadremploi, accédez au Replay pendant 7 jours, ou répondez au questionnaire de l’émission. Vous pouvez également lire un retour d’expérience d’entreprises libérées sur Agileaction. Si vous n’avez pas pu voir l’émission, n’hésitez pas à me contacter. Ci-après, le synopsis complet de l’émission venant du site d’Arte :
Synopsis
Qui, aujourd’hui, peut se vanter d’être heureux sur son lieu de travail ? Certainement pas les 31% de salariés « activement désengagés » – ceux qui ont une vision négative de leur entreprise et peuvent aller jusqu’à lutter contre les intérêts de cette dernière. Inspiré de l’armée, le modèle d’organisation du travail visant à contrôler l’ensemble des salariés en leur attribuant des tâches limitées a peu changé depuis la fin du XIXe siècle. Aujourd’hui, employeurs comme employés doivent s’accommoder d’un système archaïque qui ne correspond plus à personne : ni efficace, ni rentable. Toutefois, au milieu de l’apathie générale causée par ce dérèglement, certains refusent la fatalité et travaillent à l’entreprise du futur.
Métro, boulot, bingo
Que peuvent avoir en commun le ministère de la Sécurité sociale belge, le géant indien HCL et Chronoflex à Nantes, leader en France du dépannage de flexibles hydrauliques ? Toutes sont des entreprises « libérées ». Leur principe : la suppression de toute hiérarchie intermédiaire doublée d’une autonomie totale des salariés à propos des décisions prises pour améliorer leur productivité. Par ailleurs, leurs leaders sont choisis par les salariés. Et cela marche : la croissance de ces sociétés est relancée de manière assez spectaculaire ; les bonus, augmentations et dividendes ne tardent pas à tomber. Martin Meissonnier filme les femmes et les hommes qui, malgré le pessimisme général, ont su sortir du cadre établi pour inventer de nouvelles formes d’organisation du travail. Une bouffée d’air frais bienvenue.
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